
Je suis Didier Aubourg, ingénieur de formation, diplômé de l’École Supérieure des Ingénieurs de Marseille (Centrale Méditerranée). Pendant plus de quarante ans, j’ai dirigé de grands projets dans les domaines de l’informatique et des télécommunications. Mais au-delà des circuits et des réseaux, j’ai toujours été attiré par d’autres formes de connexions : celles qui relient les mythes aux civilisations, les équations aux mystères de l’univers, la mémoire humaine à l’infini cosmique.
Passionné par la culture mésopotamienne — ses légendes, ses langues, ses dieux et ses épopées — je me nourris aussi des avancées en cosmologie, mécanique quantique et théorie des nombres, en particulier des fascinants nombres premiers. Ces domaines m’inspirent une vision poétique et scientifique du monde, que j’essaie de traduire en mots.
C’est en 2020, à l’occasion d’une maladie due au COVID, que l’écriture est entrée dans ma vie comme une évidence. Chaque nuit, des rêves se succédaient, se répondaient comme les chapitres d’une histoire en devenir. J’ai commencé à les noter, à les assembler, jusqu’à ce qu’un roman de 1200 pages naisse de cette matière onirique. Bien que ce premier manuscrit doive encore être retravaillé, il fut un déclencheur. Depuis, écrire est devenu une passion à part entière.
Souvent, mes récits prennent naissance dans des faits réels — une escapade entre amis à Malte, une maison abandonnée à Tende, un fragment d’archive à Carcassonne — et basculent dans la fiction au gré de mon imagination. Mon écriture mêle roman, poésie et essai, et explore ce qui m’obsède : la quête de sens, les énigmes de l’univers, les traces enfouies du passé, et la fragile beauté de l’instant présent.
Je ne suis pas écrivain, je n’ai aucune formation littéraire, je ne suis pas philosophe, et j’écris simplement comme les mots et les idées me viennent.